The Climate Crisis: A Call to Creation
My audacious adventurers,
GPS Coordinates: 3°08’N, 101°41’E, Kuala Lumpur. Here, the heat clings to you like an old coat, tropical rains strike as suddenly as summer storms on the Seine’s quays, and the trees seem to hold as many stories as the ancient streets of Paris.
Sitting in my studio, I wonder: can art truly capture the fragile beauty of a world in transformation, or is it simply an attempt to grasp something that forever escapes our control?
In my Wood Stock collection, I don’t just paint forests. I explore tropical rainforests, boreal jungles, and even the mythical woods of Broceliande. It feels a bit like walking through the Jardin du Luxembourg just after the rain, where every tree seems to murmur ancient secrets.
I think of Arctic Forest, a piece that captures the majesty of a vanishing frozen world. And suddenly, a question arises: what if, like in a complex relationship, nature is sending us warning signals, yet we are too captivated by its beauty to truly hear them?
As an artist, I don’t aim to provide answers. I simply do what I know: translate what I feel. Here in Kuala Lumpur, I feel this transformation every day. The city changes before my eyes, just as the forests I paint transform. Each layer of lacquer is a tribute to this ever-changing nature—fragile yet untamed.
But as I look at my work, another thought comes to mind: are we losing our connection to nature, just as we sometimes lose our way in life, too absorbed in chasing the next big achievement?
I am Claire Lassonnery, visual artist, and I can’t wait to make your emotions resonate in person.
La crise climatique : un appel à la création
Mes chères audacieuses,
Position GPS : 3°08’N, 101°41’E, Kuala Lumpur. Ici, la chaleur s’accroche à vous comme un vieux manteau, les pluies tropicales sont aussi soudaines que des orages d’été sur les quais de la Seine, et les arbres semblent avoir autant d’histoires à raconter que les vieilles rues de Paris.
Assise dans mon atelier, je me demande : l’art peut-il réellement capturer la beauté fragile de notre monde en transformation, ou est-ce simplement une tentative de maîtriser quelque chose qui échappe toujours à notre contrôle ?
Dans ma collection Wood Stock, je ne me contente pas de peindre des forêts. Je m’aventure dans les forêts tropicales, les jungles boréales, et même dans les légendes des forêts de Brocéliande. C’est un peu comme une promenade à travers le Jardin du Luxembourg, juste après la pluie, où chaque arbre semble murmurer des secrets anciens.
Je pense à Forêt Arctique, cette oeuvre qui capture la majesté d’un monde glacé en voie de disparition. Et soudain, une question me traverse l’esprit : et si, comme dans une relation compliquée, la nature nous envoyait des signaux d’alerte, mais que nous étions trop absorbés par sa beauté pour vraiment écouter ?
En tant qu’artiste, je ne cherche pas à donner des réponses. Je fais simplement ce que je sais faire : traduire ce que je ressens. Ici, à Kuala Lumpur, je ressens cette transformation à chaque instant. La ville change sous mes yeux, tout comme ces forêts que je peins. Chaque couche de laque devient un hommage à cette nature en perpétuelle évolution, à la fois fragile et indomptable.
Mais en regardant mes oeuvres, une autre question me vient : sommes-nous en train de perdre notre connexion avec la nature, tout comme nous perdons parfois pied dans nos vies, trop occupés à poursuivre ce que nous pensons être le prochain grand accomplissement ?
Je suis Claire Lassonnery, et dans ce monde en constant changement, je vous invite à ressentir, à vous arrêter un instant, et à peut-être voir les choses autrement.